Quand j’marche dans l’vent des rues de Paris
Pour dire à la vie nique la mort
J’t’en si je suis c’que j’suis
Nique sa mère la loi du plus fort
Depuis tout p’tit je jette des sorts
A ceux qui tiennes le grizbi
La flore, le faune c’est ma mine d’or
Quand j’marche dans l’vent des rues de Paris
C’est des cabossés ma patrie
On est moins con dans le fond qu‘au bord
J’suis l’ vers dans la pomme toute pourrie
Pour dire à la vie nique la mort
Mon sac à dos n’est pas raccord
Avec le poids des utopies
Aujourd’hui l’ bleu turquoise à tort
J’t ’ en veux pas si je suis c’que j’suis
Les manifestations de mépris
Raisonnent comme un meunier tu dors
Mais je vous en prie allez-y
Nique sa mère la loi du plus fort
Peut être que j’ suis un malappris
Que j’suis un sans cœur mais j’ai un corps
Les actes gratuits c’est fini
J’prends un peu d’sud, j’prends un peu d’nord
Quand j’marche…
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